Salut à tous,
Retour des activités du blog après une petite pause hivernale.
Toujours des tests de matériels,
rendement mécanique avec la puissance et
des articles sur les dernières techniques d’entrainement à venir.
On commence avec le test du capteur de puissance STAGES avec
la collaboration du site MatosVélo.
Nous avons collaboré ensemble afin que
Guillaume puisse tester à fond le Stages en ayant un moyen de mesure fiable et
éprouvés en parallèle c’est à dire une roue Powertap G3 + Garmin 500. Cette
dernière ayant été certifiée par Matsport quelques semaines avant de sa
bonne calibration puisque le pont de jauge a été entièrement révisé. Pas de
doute à avoir sur la fiabilité des résultats. 2 manivelles Stages ont été aussi
utilisé sur plus de 20 h de tests comparatifs. Guillaume a d’abord réalisé des
tests pour déterminer son profil de puissance puis a réalisé des exercices
permettant de mettre en situation difficile les capteurs (accélérations force x
vitesse, PMA Assis/ debout, hyper vélocité, force sous max, basse cadence …) .
Ce test lui aura aussi permis de découvrir la puissance en se rendant compte de
la gestion complètement différentes des exercices comparé à la fréquence
cardiaque…
Je vous laisse lire le test et les conclusions ici :
Possesseur d'une manivelle Stage, je suis également en train d'effectuer quelques mesures de puissances mais selon un tout autre mode : je réalise des intervalles "longs" entre 3' et 15' puis relie ensuite la FC à la puissance NP et moyenne, le tout sur HT de façon à avoir un IV le plus proche possible de 1.
RépondreSupprimerIl me semble que le protocole de mesure de Guillaume est préconisé par F.Grappe. Mais n'est-il pas également intéressant de réaliser des mesures sur des valeurs de puissance mieux maîtrisées par le cycliste (par exemple sur des intervalles réalisé à des puissance inférieures à la FTP) qui permettent une meilleure gestion de l'effort ?D'autant que des pics de puissance ne sont finalement pas les informations qui sont les plus pertinentes afin de calibrer son entraînement.
Sur HT la différence est souvent moins importante entre tous les capteurs. L'effort est plus lissé, il y a moins de variations du au terrain de la route. Le traitement de l'information est donc simplifié, c'est aussi à ça qu'on voit un bon capteur. Celui ne derive pas entre ht et route ou très peu. Ce n'est pas le cas du Stages ( on a des tests comparatifs HT VS Route). Faire des efforts long avec un capteur ne représente pas l’intérêt majeur de l'outil...le ressenti peut suffire. Il faut être fiable sur des succession d'effort court proche autour de PMA, c'est sur ces zones rentables d'amélioration de la VO2max qu'il faut avoir du fiable pour être à la bonne intensité et pouvoir prolonger ses séries aussi longtemps que possible sans se cramer parce que parti trop fort par exemple.
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